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Editos

Edito

Une insurrection militante est nécessaire.

Contre le pessimiste ambiant!

Contre le défaitisme et la résignation...

Edito

 « Il était une fois, il y a des milliers d’années… »  Vieille comme le monde, elle entre dans l’Histoire avec les grandes civilisations. Toujours elle a été scandaleuse. Parce qu’elle vise la puissance des puissants. Parce qu’elle bouleverse l’ordre des choses. Parce qu’elle est toujours une épreuve de force qui met en cause un rapport de domination. Soudain, des méprisés, organisés collectivement, n’acceptent plus les conditions de leur servitude. Les lignes peuvent alors bouger. Et parfois, la grève… change la vie.

Edito

Charles Michel dérape. Après les journalistes, les magistrats, les recteurs d’université, mais aussi les syndicalistes et le monde associatif, le Premier ministre rêve-t-il de museler l’opposition ? Pour la Wallonie et Bruxelles, c’est une majorité des Parlementaires qui sont visés !

http://metallos.be/fr/declaration-de-confidentialite

Edito

Ce dimanche 14 octobre, les élections communales et provinciales présenteront des enjeux fédéraux et régionaux. Le MR en a pris la responsabilité en annonçant, le verbe haut, et dès l’ouverture de la campagne électorale, son intention de poursuivre, avec les mêmes partenaires, une politique identique. Il a ainsi transformé ces élections locales en un test « grandeur nature » de sa popularité.

Pour le monde ouvrier, la « suédoise » est la pire catastrophe depuis la seconde guerre mondiale. Michel 1er a torpillé la concertation sociale, criminalisé l’action sociale, réduit les libertés syndicales, amputé les protections sociales, fait sauter l’index, bloqué les salaires, reculé la pension à 67 ans, encouragé les « boulots de merde », réduit la voilure démocratique, asphyxié la justice, multiplié les cadeaux aux patrons et aux rupins, aux copains et aux coquins… Il a libéré la parole raciste et les comportements fascistes. Il enferme des enfants d’exilés mais libère des délinquants.

Edito

La droite ne baisse pas les bras. Nous ne baissons pas les armes. Le 2 octobre, nous reprenons la rue… Ça doit être comme un signal qui prépare et annonce des grèves interprofessionnelles ! Les raisons de la colère ne manquent pas. Depuis 4 années, les réactions du mouvement social n’ont pas été à la hauteur des agressions subies par le monde du travail. Le MR annonce qu’il n’en a pas fini. Il veut poursuivre l’aventure avec la droite flamande et ses fachos. No pasaran !

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De certains combattants, tombés au champ d’honneur, on dit parfois qu’ils « ont regardé la mort en face ».


Une guerrière dont la chute, aussi jeune, nous déchire les veines et le ventre, avait choisi, très exactement, le contraire.  Embrasser l’existence à pleines dents, malgré tout. Malgré les souffrances. Malgré la lourdeur des traitements. Malgré le pessimisme de la raison. Tout au long de huit années de combat, pas un jour, elle n’a baissé les armes.  Elle a cru en sa victoire tous les matins. Toutes les heures. A chaque instant, avec une volonté héroïque. La rage de vivre. Un exemple…

Edito

L’intérêt partagé par les églises et les fachos pour un gouvernement autoritaire du corps des femmes reste consternant. Par les temps qui courent et l’obscurantisme qui gagne du terrain, elles ont du souci à se faire ! Et ceux qui les respectent aussi…

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Lehmann Brothers, c’était il y a dix ans. La faillite de cette banque américaine déclenchait une tempête dans le monde financier. Nous n’avons pas fini d’en payer les conséquences et nous serions déjà à la veille d’un nouveau tsunami de plus grande ampleur encore. Plus une semaine ne se passe sans qu’un nouvel observateur ne s’en inquiète dans les médias officiels…

Edito

L’Histoire s’écrit au présent mais se lit au passé. Nous donnera-t-elle demain quitus de nos renoncements actuels, de nos actes quotidiens, des choix de nos contemporains ? Comment jugera-t-elle, par exemple, la criminalisation croissante de toutes formes de solidarité ? Nos enfants et petits-enfants en décideront en conscience et en fonction d’événements dont, sans doute, nous ignorons tout encore…

Edito

« Les hommes avaient perdu le goût
De vivre, et se foutaient de tout
Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas
Pour eux, c’était du cinéma.
Le ciel redevenait sauvage,
Le béton bouffait l’paysage.
Les loups,
Les loups étaient loin de Paris

En Croatie, en Germanie.
Les loups étaient loin de Paris ». (1)