Premier rendez vous contre l'Arizona
Nous étions + de 100.000, homme, femmes, jeunes, seniors, de toutes les régions, du privé, du publics ... TOUS CONCERNE.E.S
L'arizona a son accord de gouvernement, rien n'est encore voté ON PEUT LES FAIRE RECULER !!
GREVE GENERALE LE 31 MARS

Un aperçu de ce qui nous attend :
- L'indexation automatique des salaires toujours menacée;
- La loi de 1996 (réformée en 2017) demeure : en 2025 et 2026, droit à une augmentation salariale de 0 %;
- Suppression immédiate du RCC (et par conséquent il y aura davantage de malades de longue durée);
- Accès aux emplois de fin de carrière rendu plus strict : carrière de 30 ans/35 ans à partir de 2030(actuellement après 25 ans);
- Attaques contre les malades de longue durée :
- Les gens ne peuvent plus travailler jusqu'à 66 ou bientôt 67 ans et tombent malades;
- Licenciement médical (gratuit pour l'employeur) déjà possible après 6 mois de maladie(actuellement après 9 mois);
- Activation des malades de longue durée (y compris la perte éventuelle de 10 % de l'allocation).
- Pensions :
- Pénalité financière en cas de retraite anticipée (même si toutes les conditions sont remplies);
- 156 jours de travail par an pour qu'une année soit prise en compte dans le calcul de la pension(actuellement c’est 104 jours).
- Plus de flexibilité :
- Plus d'heures supplémentaires (même sans rémunération des heures supplémentaires);
- Annualisation du temps de travail (rien sur votre rythme, seulement en faveur de l'employeur);
- Travail de nuit à partir de minuit au lieu de 20 h : avec une pression accrue sur les primes de nuit Suppression tant de l’interdiction du travail de nuit, que des jours de fermeture obligatoires.
- Jour de maladie unique : de 3 à 2 jours d'absence pour cause de maladie sans certificat médical;
- Réintroduction de la période d'essai : l'employeur peut à nouveau se débarrasser de vous à moindre coût;
- Les chômeurs temporaires doivent s'inscrire comme demandeurs d'emploi.
Et les épaules les plus fortes ? Elles restent largement épargnées. La bagatelle qui leur est demandée ne peut même pas s'appeler une taxe, mais à peine une contribution de solidarité.